Le 27/03/16

Devenez parrain ou marraine : Soutenez une vie

A CPCS, devenir parrain/marraine c’est s’engager non seulement à soutenir un enfant pendant sa scolarité mais par lui, avec lui, soutenir un projet permettant à des dizaines de vies de rejoindre et surtout de rester sur les bancs de l’école.

CPCS travaille avec les enfants des rues du Népal depuis de longues années. Fort de son expérience, ils ont décidé en 2006 de lancer des projets de prévention en village et zone rurale ou semi-rurale. L’Objectif ? Prévenir l’arrivée des enfants vers la rue, essayer de soutenir les familles tant qu’il en est encore temps et assurer qu’un maximum d’enfants aient accès à une éducation correcte.

L’idée est donc bien d’agir en « amont », avant l’arrivée de l’enfant dans les rues des grandes villes. C’est évidemment une tâche bien ardue et un projet gigantesque dans l’absolu, mais pratiquement, humainement, pas après pas, c’est plus de 1000 enfants qui sont à présent soutenus, épaulés, ce sont une vingtaine de centre de soutien local qui sont ouverts, des dizaines de travailleurs sociaux, éducateurs, etc. qui s’activent.

De 2006 à 2009, le projet a pu croître grâce aux soutiens de diverses fondations, ONG, partenaires et surtout grâce à l’appui de la Chaine de l’espoir (France). Maintenant, que ce projet a prouvé son efficacité, CPCS a décidé de faire aussi appel à des particuliers, des familles, des donneurs privés, des petites associations, écoles qui dans un premier temps pourront permettre au projet de se stabiliser financièrement, puis progressivement de continuer à se développer en permettant à plus et plus d’enfants d’être scolarisés et soutenus.

Ce projet défend la vision de CPCS qui est de permettre à l’enfant de rester dans sa famille tout en assurant un quotidien décent et son droit à une éducation de base. La démarche consiste à impliquer la famille de l’enfant au quotidien ainsi que sa communauté. 
 
Pratiquement, CPCS demande une participation de 30 euros mensuellement pour soutenir symboliquement une vie (dont vous recevrez des nouvelles régulièrement) et soutenir pratiquement tout un projet (le projet CLASS, plus d'infos ici). 
 
 
Parrainer un enfant à CPCS, c’est symbolique, des centaines d’enfants soutenus ne sont pas parrainés et ce n’est pour cela qu’ils seront retirés de l’école. Un lien individuel est une manière de personnaliser l’action, de la rendre humaine et plus sympathique…
 
Vos 30 euros mensuels ne sont pas bloqués sur cet enfant en particulier. C’est important d’être clair, mais CPCS garantit son soutien évidemment ! Mais ils cherchent également à ce que l’argent soit utile à un maximum de petites vies.
 
CPCS dans son ensemble (enfants des rues ligne d’urgence, projets de réhabilitation) bénéficie d’autres soutiens qui permettent de couvrir les frais administratifs, de gestion, etc. CPCS peut donc garantir que 90 % de l’argent reçu sera directement affecté aux missions sociales de soutien au projet CLASS (les 10 % restants servent aux frais de gestion, aux salaires des travailleurs sociaux, aux frais de transferts bancaires, aux frais d’impression, et de transports locaux).
 
 
 
FAQ : Pour répondre à vos interrogations
 
  
1. Que vais-je recevoir comme informations, retour, sur mon filleul et sa situation ?
Je recevrai en avril-mai, le rapport scolaire de mon/ma filleul/filleule. Vers décembre, CPCS envoie un petit dessin et de temps en temps une nouvelle photo. Je recevrai par ailleurs en juillet et en janvier, le rapport annuel de CPCS.
 

2. Puis-je lui envoyer des lettres, des cadeaux ?

CPCS n’encourage pas les cadeaux (poste peu fiable au Népal, jalousie des autres enfants, etc.) mais si vous pensez important d’apporter quelque chose, CPCS vous propose d’offrir du matériel scolaire, utile non seulement pour votre filleul, mais aussi pour les autres enfants soutenus… C’est plus équitable.

 

3. Puis-je aller voir les projets ?

C’est évidemment permis. Les projets CLASS concernés se trouvent soit dans le district de Dolakha, soit dans la vallée de Katmandou.  Les travailleurs sociaux de CPCS ne peuvent s’occuper des modalités de transports, hébergements, etc.…Il faut être autonome.  CPCS demande par ailleurs d’être informé au moins 3 à 4 semaines avant la venue pour une visite loin de la capitale. Les centres de CPCS dans Katmandu peuvent eux être visités très facilement. (centres pour enfants des rues, réhabilitation, etc)

 

4. Que se passe-t-il si l’enfant soutenu quitte le projet ?

Vous serez informé et un autre enfant dans le besoin vous sera proposé. Il faut comprendre que certaines familles migrent et que parfois les distances et les difficultés sont trop grosses pour que CPCS puisse poursuivre son soutien. Certaines familles connaissent aussi des éclaircies au niveau de leur situation socio-économique. Si un soutien pratique et financier n’est plus nécessaire, CPCS préfère se tourner vers un autre enfant, plus dans le besoin.

 

5. Puis-je bénéficier d’une déduction fiscale ?

CPCS étant en Belgique/Europe, soutenu par des bénévoles, ils n'ont pas encore demandé la déductibilité fiscale vu les lourdes démarches administratives pour l’obtenir. Malgré tout, CPCS présente une attestation de don qui est généralement acceptée par l’administration fiscale. (Toutefois, sans certitude de leur part !)

 

6. Qui fait quoi ?

CPCS s’occupe des projets de A à Z. Les 30 euros que vous versez seront intégralement alloués à la prise en charge et de l’enfant soutenu et d’autres enfants dans le besoin. (moins 10 % pour les frais de gestion, postaux, bancaires, …). CPCS ne soutient pas d’autres organisations, etc. C’est bien CPCS International et CPCS au Népal qui s’occupent des programmes proposés sans « sous-traitance » à d’autres mouvements ou ONG’s… Ils peuvent donc assurer la bonne utilisation des fonds. 

Pour toute question sur le parrainage, ses modalités, etc…, Contactez CPCS, par mail de préférence : cpcs.international@gmail.com

 

7. S’il y a plus de 1000 enfants concernés, à quoi sert d’en soutenir un ?

Pour CPCS, chaque enfant soutenu est important. Le 19 juillet 2002, CPCS aidait 12 enfants dans un petit appartement de la banlieue ouest de Katmandou. Maintenant des centaines et centaines d’enfants bénéficient de leur appui. (médical, légal, ligne d’urgence, centre de réhabilitation, refuge pour enfants des rues, etc.) Pourtant chaque vie soutenue est un pas en avant. Votre « petite » participation, soutenir un enfant, est un pas énorme, des vies, vont aller à l’école, apprendre à lire, à écrire. Sans ces petits soutiens, CPCS ne peut rien faire. Sur le millier d’enfants du projet CLASS, seul un peu plus de 600 sont soutenus financièrement (principalement grâce à l’organisation française La Chaine de l’espoir, l’un des plus importants partenaires de CPCS. Ces appuis leur permettent donc aussi d’aider les autres, d’intervenir sur diverses zones, de soutenir des projets de prévention efficaces et bien implantés dans les communautés. A chaque enfant soutenu, c’est un peu plus de moyens pour faire plus, mieux et plus longtemps.

 

Intéressé par ce projet ? Rien de plus simple !

Télécharger la brochure Soutenir une vie – 2015 et renvoyez le formulaire (dernière page) à CPCS International par email à l’adresse suivante cpcs.international@gmail.com. 

Tags: #cpcs
 


 
 
 

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